Tshopo : Patrick Matata appelle à la responsabilité et à l’unité pour préserver la stabilité institutionnelle

Dans un climat politique tendu au sein des institutions provinciales de la Tshopo, le député national Patrick Matata Makalamba prône la responsabilité, la cohésion et le respect des valeurs démocratiques comme piliers de la stabilité et du développement durable.

Alors que la Tshopo traverse une période marquée par des tensions entre l’Assemblée provinciale et le gouvernement provincial, le député national élu de Kisangani, Patrick Matata Makalamba, élu de la ville de Kisangani, a tenu à rappeler l’importance du respect mutuel et de la légalité dans l’exercice des fonctions publiques.

Dans une déclaration empreinte de sagesse et de patriotisme, le député a dénoncé l’activisme politique observé ces dernières semaines, appelant les acteurs provinciaux à revenir à la raison et à la discipline institutionnelle.

« Les acteurs provinciaux expérimentent les prérogatives qui leur sont reconnues. Les acteurs externes ne peuvent y jouer qu’un rôle marginal », a-t-il souligné, insistant sur la nécessité de préserver l’équilibre institutionnel dans un cadre strictement démocratique.

Pour Patrick Matata, la Tshopo est une province à fort potentiel, mais qui reste vulnérable aux influences négatives et aux divisions politiques. Il avertit que la fragmentation des institutions ne profite à personne, sinon aux ennemis du progrès.

« La Tshopo fait l’objet de convoitise des ennemis de la République, elle a besoin de notre vigilance et de nos énergies positives », a-t-il averti.

Fidèle à la vision du Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, l’élu de Kisangani appelle toutes les parties prenantes à transcender les différends pour placer l’intérêt supérieur de la population au cœur de leurs priorités.

Son message met l’accent sur la responsabilité collective, construire une province pacifique et prospère, en mettant fin aux querelles stériles qui freinent le développement local.

Patrick Matata invite les fils et filles de la Tshopo à œuvrer ensemble pour une société fondée sur la fraternité, la tolérance et l’hospitalité. Selon lui, c’est dans l’unité que réside la vraie force du peuple boyomais.

« Bâtissons une Tshopo de paix, de dignité et d’espoir, où chaque citoyen peut rêver d’un avenir meilleur », a-t-il conclu.

Dans une province souvent secouée par les rivalités politiques, la prise de parole de Patrick Matata apparaît comme une bouffée d’oxygène et un rappel salutaire aux fondamentaux de la République, la paix, la responsabilité et le service au peuple.