Kisangani : Senold Tandia salue la baisse des prix du poulet et de l’huile après ses descentes sur terrain
En descente ce vendredi 17 octobre, le ministre provincial de l’Économie, Senold Tandia, a constaté une baisse réelle des prix des vivres frais et de l’huile à Kisangani.
Dans un contexte d’appréciation du franc congolais face au dollar, le ministre provincial de l’Économie, Senold Tandia Akomboyo, poursuit son travail de suivi auprès des principaux distributeurs de la Tshopo. Ce vendredi 17 octobre, lors de sa descente à Kisangani, il a constaté une application significative des mesures convenues lors de la réunion tenue le 3 octobre dernier avec les différentes corporations d’opérateurs économiques.
Les premiers résultats sont palpables. Selon les données recueillies auprès des grands distributeurs, le prix des cuisses de poulet est passé de 116 000 francs congolais à 94 000 FC, tandis que le bidon de 25 litres d’huile végétale se négocie désormais à 124 000 FC, contre 153 000 FC auparavant. Ces ajustements sont rendus possibles par l’application d’un taux de change plus favorable, évalué à environ 2 250 FC le dollar, contre plus de 2 800 FC il y a encore quelques semaines.
Pour le ministre Tandia, ces chiffres traduisent l’efficacité des efforts engagés par le gouvernement provincial pour défendre le pouvoir d’achat de la population. Il s’est félicité de cette évolution positive, tout en exhortant les autres opérateurs économiques à s’aligner sur la même dynamique.
« Nous encourageons tous les acteurs économiques à suivre cet élan, car la stabilité du franc congolais doit se refléter dans les prix à la consommation », a-t-il déclaré.
Cette initiative s’inscrit dans la continuité de la politique économique menée dans la Tshopo, axée sur la transparence, la concertation et le contrôle régulier du marché. Elle marque également une étape importante dans la lutte contre la spéculation injustifiée sur les produits de première nécessité.
En saluant cette baisse tangible des prix, Senold Tandia réaffirme la détermination du gouvernement provincial à veiller sur le bien-être économique des Boyomais, tout en rappelant que la stabilité du marché dépendra de l’engagement collectif de tous les acteurs.
