Kisangani : Grâce Likaka évalue la formation en coupe-couture lancée pour l’autonomisation des jeunes

Une évaluation mi-parcours a été organisée ce mercredi 19 novembre 2025 au Centre d’Encadrement et de Réinsertion des Jeunes (CERJ), dans la commune Mangobo au bloc Bombola, pour apprécier les avancées du programme de formation en coupe-couture initié par le député Grâce Likaka, dans le cadre de la vision du Chef de l’État pour la promotion de la jeunesse.

Lancées en septembre dernier, les séances de formation en coupe-couture au Centre d’Encadrement et de Réinsertion des Jeunes (CERJ), situé dans le quartier Baboa à la commune Mangobo, visent à offrir des compétences pratiques à plusieurs jeunes déscolarisés ou en quête d’insertion professionnelle.

À la mi-parcours, les premiers résultats sont palpables, plusieurs participants savent déjà réaliser des vêtements tels que culottes, boubous, ou encore robes prêtes à la vente.

« Ce programme est une réponse concrète à la problématique du chômage des jeunes dans notre province. », a souligné un encadreur du centre, saluant la détermination et la progression rapide des apprenants.

Pour consolider ces acquis, une deuxième phase est annoncée pour une formation en entrepreneuriat destinée à doter les bénéficiaires des outils de gestion d’une micro-entreprise, afin de les aider à monétiser leurs créations et s’autofinancer durablement.

Très engagée, le député Grâce Likaka, initiatrice de cette action, a réaffirmé son attachement à l’autonomisation de la jeunesse.

« Nous ne voulons pas seulement former des couturiers, mais des jeunes responsables, capables de créer leur propre emploi. », a-t-elle indiqué.

L’émotion était palpable chez les bénéficiaires, qui ont exprimé leur reconnaissance envers l’élue provinciale. Pour beaucoup, cette formation représente un tournant dans leur vie et une vraie lueur d’espoir dans un contexte économique difficile.

Avec cette initiative, Grâce Likaka traduit en acte l’appel à l’autonomisation lancé par le Président de la République. Une démarche qui, si elle se pérennise, pourrait contribuer à endiguer le chômage des jeunes dans la Tshopo et au-delà.